CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES !

La CNT de Marseille appelle à rejoindre la manifestation organisée par les femmes kurdes de Marseille, le samedi 26 novembre à 14h au Vieux-Port.

"Les femmes kurdes de Marseille se mobilisent contre la violence que subissent les femmes du monde entier. Nous protestons contre la violence physique et psychologique exercée sur les femmes et enfants.
Nous dénonçons la politique de Daesh contre les femmes et les pays qui le soutiennent.
Nous dénonçons la politique daeschienne des États, tels que la Turquie et d’autres, considérant les femmes comme esclaves.
Nous dénonçons le projet de loi en cours au Parlement turc qui légalise le viol.
Mobilisons-nous tou-tes ensemble, afin de dénoncer toute forme de violence sur "les Femmes"
le samedi 26 novembre 2016 
à 14h, rendez-vous sur le Vieux Port pour une marche jusqu’à la place de la Joliette.
N’hésitez pas à diffuser l’information à un large public.
Centre des femmes kurdes Arin Mirxan.
0658872107"

Ci dessous le communiqué confédéral de la CNT.

CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES MOBILISONS-NOUS !

Comme chaque année, la journée du 25 novembre s’inscrit dans une mobilisation collective contre les violences faites aux femmes, qu’elles soient physiques, psychologiques, économiques ou sociales. Cette journée est l’occasion de rappeler que des millions de femmes subissent au quotidien : agressions sexuelles, humiliations, harcèlements et représentation sexiste de « la femme objet » dans les publicités. Mais aussi qu’elles sont les premières touchées par les inégalités salariales et la précarisation des conditions de travail.

A travail égal, les femmes touchent 25% de moins que les hommes , elles sont les plus touchées par le chômage et la précarité et sont les premières victimes des temps partiels subis. Les différentes lois patronales notamment la loi El khomri facilitant les temps partiels, mettent les travailleuses au premier plan.

Se battre contre l’oppression sexiste c’est donc se battre, au quotidien, sur tous les plans. C’est affronter la société patriarcale que nous connaissons et dans laquelle les hommes sont les dominants, mais c’est également se battre contre le système capitaliste qui oppose les classes.

Être antisexistes, c’est être révolutionnaires !

La CNT